Au plus fort de la première vague, nos policiers ont répondu en moyenne à 9 000 appels par semaine, dont plus du tiers étaient liés à la COVID-19. À ce titre, une hausse importante du nombre de services d’ordre imputable à la pandémie a été observée, en particulier en raison de l’intensification de la présence, dans les parcs et les lieux publics, de policiers chargés de surveiller le respect des mesures de distanciation physique.
À la suite du déconfinement estival, le nombre élevé de rassemblements et la croissance constante du nombre de cas confirmés de COVID-19 ont exigé un renforcement de la présence policière. Les policiers ont dû recourir à différents moyens pour accéder plus facilement à certains lieux publics. En effet, la présence policière à pied, à vélo et même à cheval s’est accrue, selon les circonstances, notamment le long du Canal-de-Lachine et dans plusieurs parcs de la métropole.
C’est dans ce contexte que 60 policiers ont été formés pour prêter main-forte à leurs pairs tout en assurant une présence significative dans les parcs et les grands espaces verts, du début avril à la fin juin.
En soutien aux directives émises par la Santé publique, les policiers ont donc joué un rôle crucial dans le respect des règles sanitaires en vigueur.